Nos interventions
Notre action
Au plus près des jeunes et des familles à l’écoute et dans l’échange
L’association IMAD pour la Jeunesse et la Paix est présente dans les établissements scolaires,
ainsi que dans les lieux de détention ou foyers fermés en collaboration avec la PJJ (protection judiciaire de la jeunesse).
Le nombre de personnes rencontrées lors de chaque intervention varie, entre 100 et 300 dans les établissements scolaires, entre 10 et 50 en milieu carcéral. Les collégiens, les lycéens et leurs parents sont généralement issus de quartiers défavorisés, tout comme le sont les détenus.
Latifa Ibn Ziaten vient personnellement pour témoigner et échanger avec les jeunes. L’instauration de ce dialogue en direct vise à transmettre ou à rappeler les valeurs de la République, à œuvrer pour la paix et le vivre-ensemble, afin de prévenir contre l'endoctrinement politique, religieux et extrémiste de toute nature pouvant conduire à la délinquance, à la radicalisation et au terrorisme.
Dans le contexte actuel, les problèmes de radicalisation nuisent à la sécurité de notre nation bien sûr, mais ils minent également l’un des fondements de notre république : le vivre-ensemble.
Après de nombreux échanges et rencontres, tant avec les jeunes qu'avec celles et ceux qui les accompagnent au quotidien, il nous est apparu nécessaire de contribuer à la recherche de solutions durables, en portant un regard différent sur des comportements violents que l’on ne peut que condamner, mais qui sont le signe d’un réel mal-être, dont il faut tenir compte. C'est cette orientation que nous avons choisie, avec la volonté d’œuvrer en faveur d’une réconciliation entre les jeunes souffrant d'un sentiment d'exclusion et une société porteuse de valeurs dans lesquelles ils ne se reconnaissent pas.
Très sollicitée pour intervenir auprès des établissements scolaires et des familles, ainsi que dans les établissements pénitentiaires, Latifa Ibn Ziaten veille à ce que le travail commencé lors de ses interventions sur le terrain se prolonge de façon à produire des effets durables. L’association organise donc des entretiens individuels, accompagne certains jeunes dans l’élaboration d’un projet et reste autant que possible en contact avec les enseignants et les personnes chargées de l’encadrement en milieu carcéral.
Le nombre de personnes rencontrées lors de chaque intervention varie, entre 100 et 300 dans les établissements scolaires, entre 10 et 50 en milieu carcéral. Les collégiens, les lycéens et leurs parents sont généralement issus de quartiers défavorisés, tout comme le sont les détenus.
Latifa Ibn Ziaten vient personnellement pour témoigner et échanger avec les jeunes. L’instauration de ce dialogue en direct vise à transmettre ou à rappeler les valeurs de la République, à œuvrer pour la paix et le vivre-ensemble, afin de prévenir contre l'endoctrinement politique, religieux et extrémiste de toute nature pouvant conduire à la délinquance, à la radicalisation et au terrorisme.
Dans le contexte actuel, les problèmes de radicalisation nuisent à la sécurité de notre nation bien sûr, mais ils minent également l’un des fondements de notre république : le vivre-ensemble.
Après de nombreux échanges et rencontres, tant avec les jeunes qu'avec celles et ceux qui les accompagnent au quotidien, il nous est apparu nécessaire de contribuer à la recherche de solutions durables, en portant un regard différent sur des comportements violents que l’on ne peut que condamner, mais qui sont le signe d’un réel mal-être, dont il faut tenir compte. C'est cette orientation que nous avons choisie, avec la volonté d’œuvrer en faveur d’une réconciliation entre les jeunes souffrant d'un sentiment d'exclusion et une société porteuse de valeurs dans lesquelles ils ne se reconnaissent pas.
Très sollicitée pour intervenir auprès des établissements scolaires et des familles, ainsi que dans les établissements pénitentiaires, Latifa Ibn Ziaten veille à ce que le travail commencé lors de ses interventions sur le terrain se prolonge de façon à produire des effets durables. L’association organise donc des entretiens individuels, accompagne certains jeunes dans l’élaboration d’un projet et reste autant que possible en contact avec les enseignants et les personnes chargées de l’encadrement en milieu carcéral.
L’association IMAD pour la Jeunesse et la Paix est présente dans les établissements scolaires,
ainsi que dans les lieux de détention ou foyers fermés en collaboration avec la PJJ (protection judiciaire de la jeunesse).
Le nombre de personnes rencontrées lors de chaque intervention varie, entre 100 et 300 dans les établissements scolaires, entre 10 et 50 en milieu carcéral. Les collégiens, les lycéens et leurs parents sont généralement issus de quartiers défavorisés, tout comme le sont les détenus.
Latifa Ibn Ziaten vient personnellement pour témoigner et échanger avec les jeunes. L’instauration de ce dialogue en direct vise à transmettre ou à rappeler les valeurs de la République, à œuvrer pour la paix et le vivre-ensemble, afin de prévenir contre l'endoctrinement politique, religieux et extrémiste de toute nature pouvant conduire à la délinquance, à la radicalisation et au terrorisme.
Le nombre de personnes rencontrées lors de chaque intervention varie, entre 100 et 300 dans les établissements scolaires, entre 10 et 50 en milieu carcéral. Les collégiens, les lycéens et leurs parents sont généralement issus de quartiers défavorisés, tout comme le sont les détenus.
Latifa Ibn Ziaten vient personnellement pour témoigner et échanger avec les jeunes. L’instauration de ce dialogue en direct vise à transmettre ou à rappeler les valeurs de la République, à œuvrer pour la paix et le vivre-ensemble, afin de prévenir contre l'endoctrinement politique, religieux et extrémiste de toute nature pouvant conduire à la délinquance, à la radicalisation et au terrorisme.
Dans le contexte actuel, les problèmes de radicalisation nuisent à la sécurité de notre nation bien sûr,
mais ils minent également l’un des fondements de notre république : le vivre-ensemble.
Après de nombreux échanges et rencontres, tant avec les jeunes qu'avec celles et ceux qui les accompagnent au quotidien, il nous est apparu nécessaire de contribuer à la recherche de solutions durables, en portant un regard différent sur des comportements violents que l’on ne peut que condamner, mais qui sont le signe d’un réel mal-être, dont il faut tenir compte. C'est cette orientation que nous avons choisie, avec la volonté d’œuvrer en faveur d’une réconciliation entre les jeunes souffrant d'un sentiment d'exclusion et une société porteuse de valeurs dans lesquelles ils ne se reconnaissent pas.
Très sollicitée pour intervenir auprès des établissements scolaires et des familles, ainsi que dans les établissements pénitentiaires, Latifa Ibn Ziaten veille à ce que le travail commencé lors de ses interventions sur le terrain se prolonge de façon à produire des effets durables. L’association organise donc des entretiens individuels, accompagne certains jeunes dans l’élaboration d’un projet et reste autant que possible en contact avec les enseignants et les personnes chargées de l’encadrement en milieu carcéral.
Après de nombreux échanges et rencontres, tant avec les jeunes qu'avec celles et ceux qui les accompagnent au quotidien, il nous est apparu nécessaire de contribuer à la recherche de solutions durables, en portant un regard différent sur des comportements violents que l’on ne peut que condamner, mais qui sont le signe d’un réel mal-être, dont il faut tenir compte. C'est cette orientation que nous avons choisie, avec la volonté d’œuvrer en faveur d’une réconciliation entre les jeunes souffrant d'un sentiment d'exclusion et une société porteuse de valeurs dans lesquelles ils ne se reconnaissent pas.
Très sollicitée pour intervenir auprès des établissements scolaires et des familles, ainsi que dans les établissements pénitentiaires, Latifa Ibn Ziaten veille à ce que le travail commencé lors de ses interventions sur le terrain se prolonge de façon à produire des effets durables. L’association organise donc des entretiens individuels, accompagne certains jeunes dans l’élaboration d’un projet et reste autant que possible en contact avec les enseignants et les personnes chargées de l’encadrement en milieu carcéral.
2024
Intervention scolaire au Collège Maurice Genevoix
Le jeudi 13 juin, dans la continuité du travail engagé en juin dernier avec le collège Maurice Genevoix, la Présidente s’est rendue ce matin auprès d'une centaine d’élèves de 3ème pour échanger sur les dangers de l’islamisme radical, l’endoctrinement et les conséquences dramatiques que cela peut avoir pour les jeunes et la société.
2024
Intervention au Collège Sabine Zlatin : Sensibilisation aux Dangers de la Radicalisation
Le vendredi 31 mai 2024, la Présidente a été invitée par le collège Sabine Zlatin afin d’échanger avec 230 élèves sur les dangers de la radicalisation. Elle a souligné que la différence doit être vue comme une richesse et est compatible avec les valeurs de la République.