Latifa, une femme dans la République
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Latifa, une femme dans la République
Tout le monde connaît son visage plein de tristesse et rayonnant de douceur.
Latifa Ibn Ziaten parcourt la France entière depuis la mort de son fils Imad, le parachutiste français tué par le terroriste Merah à Toulouse, en 2012. Depuis, Latifa travaille sans relâche avec des collégiens et lycéens, des enseignants, parents et jeunes prisonniers, "pour qu'il n'y ait plus jamais un autre Mohamed Merah".
La réalisatrice Jarmila Buzkova l'a suivie pendant sept mois. Son film documentaire, sans voix off, montre dans de nombreuses séquences émouvantes les échanges entre Latifa et son public: ne jamais élever la voix, toujours faire preuve de respect et regarder tout le monde droit dans les yeux, Latifa répond à toutes les questions, elle est claire et directe et toujours trouve les bons mots pour parler des problèmes. Elle transcende son chagrin en une force de lutte pour la tolérance et contre le fanatisme.
Dans des séquences plus intimes, Latifa parle aussi de son enfance, de son arrivée à 17 ans en France de son Maroc natal, de son combat pour la diversité lorsqu'elle travaillait comme cuisinière scolaire et de l'éducation aimante et assidue de ses cinq enfants.
Ce qui est important pour elle après la tragédie, c'est de continuer à «se tenir debout», tout comme son fils l'a fait, face à son meurtrier. Jour après jour, elle poursuit son incroyable combat pour garder vivante sa mémoire, pour soutenir les valeurs républicaines et pour toucher dans le cœur l'humain, qui qu'il soit.
Le documentaire a reçu le Prix du Public au 30e Festival International des Programmes Audiovisuels de Biarritz en 2017.
Latifa Ibn Ziaten parcourt la France entière depuis la mort de son fils Imad, le parachutiste français tué par le terroriste Merah à Toulouse, en 2012. Depuis, Latifa travaille sans relâche avec des collégiens et lycéens, des enseignants, parents et jeunes prisonniers, "pour qu'il n'y ait plus jamais un autre Mohamed Merah".
La réalisatrice Jarmila Buzkova l'a suivie pendant sept mois. Son film documentaire, sans voix off, montre dans de nombreuses séquences émouvantes les échanges entre Latifa et son public: ne jamais élever la voix, toujours faire preuve de respect et regarder tout le monde droit dans les yeux, Latifa répond à toutes les questions, elle est claire et directe et toujours trouve les bons mots pour parler des problèmes. Elle transcende son chagrin en une force de lutte pour la tolérance et contre le fanatisme.
Dans des séquences plus intimes, Latifa parle aussi de son enfance, de son arrivée à 17 ans en France de son Maroc natal, de son combat pour la diversité lorsqu'elle travaillait comme cuisinière scolaire et de l'éducation aimante et assidue de ses cinq enfants.
Ce qui est important pour elle après la tragédie, c'est de continuer à «se tenir debout», tout comme son fils l'a fait, face à son meurtrier. Jour après jour, elle poursuit son incroyable combat pour garder vivante sa mémoire, pour soutenir les valeurs républicaines et pour toucher dans le cœur l'humain, qui qu'il soit.
Le documentaire a reçu le Prix du Public au 30e Festival International des Programmes Audiovisuels de Biarritz en 2017.
Tout le monde connaît son visage plein de tristesse et rayonnant de douceur.
Latifa Ibn Ziaten parcourt la France entière depuis la mort de son fils Imad, le parachutiste français tué par le terroriste Merah à Toulouse, en 2012. Depuis, Latifa travaille sans relâche avec des collégiens et lycéens, des enseignants, parents et jeunes prisonniers, "pour qu'il n'y ait plus jamais un autre Mohamed Merah".
La réalisatrice Jarmila Buzkova l'a suivie pendant sept mois. Son film documentaire, sans voix off, montre dans de nombreuses séquences émouvantes les échanges entre Latifa et son public: ne jamais élever la voix, toujours faire preuve de respect et regarder tout le monde droit dans les yeux, Latifa répond à toutes les questions, elle est claire et directe et toujours trouve les bons mots pour parler des problèmes. Elle transcende son chagrin en une force de lutte pour la tolérance et contre le fanatisme.
Dans des séquences plus intimes, Latifa parle aussi de son enfance, de son arrivée à 17 ans en France de son Maroc natal, de son combat pour la diversité lorsqu'elle travaillait comme cuisinière scolaire et de l'éducation aimante et assidue de ses cinq enfants.
Ce qui est important pour elle après la tragédie, c'est de continuer à «se tenir debout», tout comme son fils l'a fait, face à son meurtrier. Jour après jour, elle poursuit son incroyable combat pour garder vivante sa mémoire, pour soutenir les valeurs républicaines et pour toucher dans le cœur l'humain, qui qu'il soit.
Le documentaire a reçu le Prix du Public au 30e Festival International des Programmes Audiovisuels de Biarritz en 2017.
Latifa Ibn Ziaten parcourt la France entière depuis la mort de son fils Imad, le parachutiste français tué par le terroriste Merah à Toulouse, en 2012. Depuis, Latifa travaille sans relâche avec des collégiens et lycéens, des enseignants, parents et jeunes prisonniers, "pour qu'il n'y ait plus jamais un autre Mohamed Merah".
La réalisatrice Jarmila Buzkova l'a suivie pendant sept mois. Son film documentaire, sans voix off, montre dans de nombreuses séquences émouvantes les échanges entre Latifa et son public: ne jamais élever la voix, toujours faire preuve de respect et regarder tout le monde droit dans les yeux, Latifa répond à toutes les questions, elle est claire et directe et toujours trouve les bons mots pour parler des problèmes. Elle transcende son chagrin en une force de lutte pour la tolérance et contre le fanatisme.
Dans des séquences plus intimes, Latifa parle aussi de son enfance, de son arrivée à 17 ans en France de son Maroc natal, de son combat pour la diversité lorsqu'elle travaillait comme cuisinière scolaire et de l'éducation aimante et assidue de ses cinq enfants.
Ce qui est important pour elle après la tragédie, c'est de continuer à «se tenir debout», tout comme son fils l'a fait, face à son meurtrier. Jour après jour, elle poursuit son incroyable combat pour garder vivante sa mémoire, pour soutenir les valeurs républicaines et pour toucher dans le cœur l'humain, qui qu'il soit.
Le documentaire a reçu le Prix du Public au 30e Festival International des Programmes Audiovisuels de Biarritz en 2017.